Après trois journées vierges de buts, mais pas de points, avec deux unités récoltées, les Dogues se devaient de profiter de la venue du petit poucet qu'est le GFC Ajaccio afin de se rassurer, et de lancer leur saison pour de bon. Et c'est désormais chose faite, grâce à une simple réalisation de l'excellent Boufal. Retour sur les prestations individuelles des acteurs de cette rencontre, entre Lillois timorés et Ajacciens inefficaces.
Lille.
Vincent Enyeama : 8 / 10.
Six arrêts, dont un venu d'ailleurs, le quota du Nigérian est rempli. Encore une fois, il s'est affirmé comme le sauveur permanent des Nordistes, encore un peu tendres par instants dans les phases défensives.
Sébastien Corchia : 6,5 / 10.
Encore une prestation solide du latéral, qui a multiplié les débordements et les centres, tous plus précis les uns que les autres, sans y laisser sa part défensive, qu'il a remplie avec un soupçon de réussite en moins.
Renato Civelli : 6, 5 / 10.
Les attaquants défilent, mais le laissent de marbre, ou presque. L'Argentin est un véritable roc, une très bonne pioche des Dogues, et un léger gain de mobilité suffirait à le placer parmi les meilleurs défenseurs centraux du championnat.
Marko Basa : 6 / 10.
De retour de blessure, il a une nouvelle fois montré qu'il n'était pas encore à 100 %, ce qui ne l'a pas empêché de remplir son rôle, malgré certaines appréhensions du contact physique avec des visiteurs agressifs.
Djibril Sidibé : 6,5 / 10.
Puissant, rapide et incisif, il n'a eu que faire des rares tentatives de débordement sur son aile, obligeant Mayi à se replier au centre ou à se déporter sur l'aile opposée. Offensivement, il a répondu présent, et même délivré une superbe offrande à Boufal pour le seul but de la rencontre.
Florent Balmont : 6 / 10.
Très discret, peut - être même trop, il n'a globalement pas su contenir les quelques offensives adverses, ne pouvant répondre présent par sa hargne et sa ténacité habituelles, qui semblaient avoir disparues le temps de la rencontre.
Rio Mavuba : 6 / 10.
Comme souvent, sa prestation correspond fidèlement à celle de son compère du milieu, ou inversement. Capitaine peu impliqué hier soir, il peut s'estimer heureux du 4 - 4 - 2 à plat des opposants, qui lui évité milieu relayeur(s) et meneur à contenir.
Ronny Rodelin : 6 / 10.
Positionné en milieu relayeur, il est vite apparu que l'expérience ne serait pas concluante, la faute à un manque évident de vitesse et d'impact défensif de cet attaquant de pointe de métier.
Remplacé à vingt minutes de la fin par un Mounir Obbadi bien plus impliqué, et précieux dans l'entrejeu.
Eric Bauthéac : 6 / 10.
Il s'est beaucoup dépensé, peut - être même trop par rapport à la quantité d'occasions qui a résulté de cette débauche d'énergie. Courir, c'est bien, mais quand ce n'est pas dans le vide, c'est mieux. Des intentions louables à saluer malgré tout.
Remplacé à un quart d'heure de la fin par un Ryan Mendes entreprenant, mais peu sollicité, la faute à un retranchement de son équipe dans les derniers instants de la rencontre.
Sofiane Boufal : 7,5 / 10.
Un dynamiteur pur, dribbleur hors du commun, qui a une nouvelle fois sauvé la face en faveur de Lille, avec, à la clé, la première réalisation du club cette saison.
Remplacé à cinq minutes de la fin par Ibrahim Amadou, qui a fait ce qu'il fallait pour conserver l'avantage.
Baptiste Guillaume : 6,5 / 10.
Il a beaucoup tenté, beaucoup provoqué, mais malheureusement sans succès. Son impact physique aura tout de même été précieux, au même titre que son jeu dos au but, aussi intelligent qu'inefficace, la faute à une défense vigilante.
Ajaccio.
Clément Maury : 7 / 10.
Quatre parades, un style pas forcément des plus académiques, mais un caractère bien trempé. Cette rencontre vous dresse le portrait du gardien d'Ajaccio, qui a longtemps maintenu son équipe à flots, dans l'espoir vain d'une égalisation.
David Ducourtioux : 6 / 10.
Le vétéran de cette équipe a vécu une soirée difficile, confronté à un poison nommé Sofiane Boufal. N'ayant plus sa vitesse d'antan, ni sa fougue d'autrefois, il n'a pu s'opposer sur la durée à ce virevoltant spécimen.
Remplacé à dix minutes du terme par Issiar Dia, qui a fait parler la poudre, mais s'est heurté à une défense bien en place en fin de rencontre.
Rodéric Filippi : 6 / 10.
Alors qu'il devait servir d'appui à Ducourtioux afin de contenir Boufal, il a également semblé dépassé par l'ailier adverse, n'intervenant que par des tacles rugueux et souvent peu utiles. Pas très inspiré non plus dans la relance, son marquage sur Guillaume est tout de même à souligner.
Kader Mangane : 6,5 / 10.
Le nouvel élément du Gazélec a su faire parler sa puissance naturelle afin de contrecarrer les plans du jeune Guillaume, lui aussi doté d'un physique assez colossal. Leur duel aura animé la surface des visiteurs.
Pablo Martinez : 6,5 / 10.
Tout proche d'égaliser en fin de rencontre, le latéral gauche a su contenir Bauthéac, faisant parler sa qualité d'anticipation ainsi que sa pointe de vitesse, et se permettant même d'aider Mangane face à Guillaume.
Issiaga Sylla : 6,5 / 10.
Très présent à la récupération, dangereux aux abords de la surface adverse, Sylla est un pilier de cette équipe d'Ajaccio, qui peut se reposer sur son endurance, ainsi que sur son impact physique.
Jérôme Le Moigne : 6 / 10.
Beaucoup trop discret, c'est normalement dans ce genre d'affrontement que les Corses auront besoin de son expérience et de sa grinta. Débordé par les offensives adverses, qui n'étaient pourtant pas des plus féroces, il a trop souvent abandonné sa défense.
Kévin Mayi : 6,5 / 10.
Une boule d'énergie, une pile électrique, les métaphores manquent pour ce jeune joueur explosif. Il n'a eu de cesse de provoquer sur les ailes, se heurtant souvent à un Sidibé présent, ou à un duo Corchia - Civelli intransigeant.
Remplacé à vingt minutes de la fin par Mohamed Larbi, trop encercé pour faire quoi que ce soit durant ce laps de temps.
Damjan Djokovic : 6 / 10.
Entre puissance et rapidité, le Croate semble avoir fait son choix. Souvent à la limite dans ses interventions, peu précis dans ses centres, il doit impérativement travailler son explosivité, car le poste d'ailier ne semble pas être taillé pour lui pour le moement.
Grégory Pujol : 6 / 10.
Une prestation bien trop juste pour un buteur de sa trempe. Muselé par le duo Civelli - Basa, il n'a eu que peu de ballons à se mettre sous a dent, et les a vendangé pour la plupart. Il serait temps qu'il montre le chemin des filets à son équipe.
Jacques Zoua : 6,5 / 10.
Pour sa première avec les Corses, il a montré de belles choses, amenant vitesse et audace, mais a souvent été trop seul. Son explosivité aura finalement été annihilée par la solide charnière de Lille.
dimanche 30 août 2015
dimanche 23 août 2015
Une saison à Pierre - Mauroy, J3
Après deux prestations vierges bien qu'encourageantes, le LOSC souhaitait marquer le coup afin de véritablement lancer son exercice. Peine perdue, les Dogues s'étant heurté à des Girondins solides à défaut d'être efficaces. Retour sur les prestations individuelles d'acteurs déterminés, mais n'ayant pu se départager.
Lille.
Vincent Enyeama : 7 / 10.
Décisif à quatre reprises, il a signé une performance majuscule, à la hauteur des espérances. Sans lui, les Nordistes auraient pu dire adieu à ce point mérité, bien que ne donnant nullement pleine satisfaction. Il a également su rassurer dans les airs.
Sébastien Corchia : 6,5 / 10.
Très entreprenant, le latéral droit frappe de plus en plus fort à la porte de la sélection. Pourtant, le cruel manque de réalisme de ses partenaires ne valorise pas ses performances à leur juste valeur. Défensivement, il a été correct, sans plus, au contraire de son apport offensif, tout simplement colossal.
Renato Civelli : 6,5 / 10.
Physiquement monstrueux, il a tenu tête à l'inexpérimenté mais puissant Crivelli, sans pour autant laisser sa technique de côté. Offensivement, il a joué de malchance, échouant deux fois sur la barre transversale.
Marko Basa : 6 / 10.
De retour dans le groupe, et titularisé d'office, il n'a pas eu son impact habituel dans sa moitié de terrain. Pas aussi serein qu'auparavant, il a toutefois tenu la baraque face à Touré, grâce à un sens de l'anticipation toujours aussi intéressant.
Djibril Sidibé : 5,5 / 10.
Défensivement, il a fait le minimum syndical. Face à Maurice - Belay, il a eu du mal à tenir le coup, mais s'en est finalement sorti. Offensivement, il n'a pas existé. Passée la ligne médiane, toute vélléité offensive semblait avoir disparue de son corps.
Rio Mavuba : 6 / 10.
Très discret, peut - être même trop, il a rempli son rôle de capitaine, haranguant sans relâche ses partenaires, mais oubliant parfois de participer de manière plus active à la construction des offensives de sa formation.
Florent Balmont : 6 / 10.
Tout comme son compère de récupération, le teigneux Florent n'a pu impacter sur la rencontre avec sa hargne habituelle, mais a tout de même fait preuve d'une envie débordante.
Remplacé dans les arrêts de jeu par un Pavard désireux de bien faire, mais n'ayant que trop peu de temps pour s'exprimer.
Mounir Obbadi : 6,5 / 10.
Un chouia plus dynamique que ses comparses, il a été à l'origine de nombreuses séquences des Dogues, qui n'auront pu s'achever aussi bien qu'il les avait commencées. Technique, mais aussi physique, ce milieu a tout pour jouer un rôle primordial dans la reconstruction du club.
Remplacé à l'heure de jeu par un Mendes de feu, dans un rôle forcément plus offensif.
Sofiane Boufal : 7,5 / 10.
Véritable poison, dynamiteur de défenses, le jeune prodige n' eu de cesse de torturer l'arrière - garde bordelaise durant l'intégralité de la rencontre. Passeur qui serait décisif sans l'inefficacité de ses coéquipiers, dribbleur invétéré, le LOSC peut définitivement se reposer sur lui.
Eric Bauthéac : 6 / 10.
Virevoltant, il cette fois tombé sur un Gajic intransigeant, et n'a pu mener ses débordements à leur terme. Il en a été de même pour ses percées axiales, réduites à néant par un Yambéré incisif.
Remplacé à un quart d'heure de la fin par un Guirassy costaud, mais encore trop naïf.
Baptiste Guillaume : 6 / 10.
Fort soucieux de bien faire, son poteau ne peut cependant pas faire oublier une prestation un tantinet insuffisante. Muselé par la paire Pallois - Yambéré, il a vécu une après - midi frustrante.
Bordeaux.
Jérôme Prior : 7,5 / 10.
Remplacer Carrasso n'est jamais un cadeau, sauf, peut - être, pour Jérôme Prior. Bondissant, rassurant, présent, tout simplement. Un véritable pilier en devenir, sur lequel Bordeaux peut s'appuyer.
Milan Gajic : 6,5 / 10.
Extrêmement mobile, défensivement présent, le jeune latéral est un futur crack, à n'en pas douter. Sa maturité est un atout sérieux, mais semble également le limiter dans certains de ses débordements, qi auraient peut - être pu donner sur quelque chose de plus inattendu.
Remplacé à vingt minutes du terme par un Guilbert bien intentionné, mais beaucoup trop maladroit.
Cédric Yambéré : 6,5 / 10.
Empli d'une fougue peu appropriée pour son poste, il a su s'en servir à bon escient, afin de stopper les velléités du rapide Bauthéac. Il a également prouvé qu'il pouvait être le véritable patron de la défense en l'absence de Sané.
Nicolas Pallois : 6 / 10.
Toujours aussi dur au mal, son entaille au crâne ne l'a pas empêché de revenir sur le terrain, plus décidé que jamais à ne rien laisser passer. Cette mentalité lui joue des tours, et il devrait impérativement penser à densifier sa palette technique.
Maxime Poundjé : 7 / 10.
Incroyablement actif sur son côté gauche, le latéral a livré un superbe duel face à Boufal, alors que ce dernier était tout sauf un cadeau. Offensivement parlant, une partition correcte, sans plus, mais correspondant à ce qui lui avait été demandé : faire out son possible pour museler le prodige adverse.
Clément Chatôme : 6 / 10.
Seul devant la défense, il a fait ce qu'il pouvait pour colmater les brèches. La bataille du milieu aura été compliquée pour lui, quasiment seul face à Mavuba, Obbadi et Balmont. Et sil a pu repousser ces attaques, c'est en grande partie grâce aux montées du jeune Yambéré.
Henri Saivet : 6 / 10.
Positionné légèrement en retrait par rapport à son poste de prédilection, Saivet a su mettre son ego de côté afin de rendre service à sa formation. Dans son rôle d'attaquant secondaire, il a prouvé qu'il pouvait être une solution de rechange correcte.
Remplacé à vingt minutes de la fin par André Poko, qui a apporté un soutien considérable à la récupération.
Kevin Soni : 5 / 10.
Une prestation très moyenne du tout jeune meneur, beaucoup trop débordé face à ses détracteurs. Maladroit dans ses interventions, beaucoup trop agressif par instants, il vaut mieux souligner l'intention que la réalisation.
Remplacé à dix minutes de la fin par l'éternel Jussiê, qui a montré de beaux restes malgré une trentaine bien tassée.
Nicolas Mauice - Belay : 6,5 / 10.
De puissants débordements, une vitesse de ponte intacte, NMB n'a rien perdu, ou presque. Il lui reste à retrouver un emblant de précision de tir ou de passe, aspects de son jeu pour lesquels les critiques fusent depuis un certain temps.
Thomas Touré : 5,5 10.
Délogé de son véritable poste, il n'a guère pesé sur quoi que ce soit, mais il aurait pu se trouver à la conclusion de certaines. Ses qualités de finisseur en sont encore au point mort, et c'est ainsi qu'il faudra y travailler.
Enzo Crivelli : 6 / 10.
Harponné par Civelli et Basa, le grand gaillard a su se démener comme un beau diable, mais vainement, malheureusement, le montant gauche de Vincent Enyeama en ayant décidé autrement, bien que son propriétaire ne soit battu.
Lille.
Vincent Enyeama : 7 / 10.
Décisif à quatre reprises, il a signé une performance majuscule, à la hauteur des espérances. Sans lui, les Nordistes auraient pu dire adieu à ce point mérité, bien que ne donnant nullement pleine satisfaction. Il a également su rassurer dans les airs.
Sébastien Corchia : 6,5 / 10.
Très entreprenant, le latéral droit frappe de plus en plus fort à la porte de la sélection. Pourtant, le cruel manque de réalisme de ses partenaires ne valorise pas ses performances à leur juste valeur. Défensivement, il a été correct, sans plus, au contraire de son apport offensif, tout simplement colossal.
Renato Civelli : 6,5 / 10.
Physiquement monstrueux, il a tenu tête à l'inexpérimenté mais puissant Crivelli, sans pour autant laisser sa technique de côté. Offensivement, il a joué de malchance, échouant deux fois sur la barre transversale.
Marko Basa : 6 / 10.
De retour dans le groupe, et titularisé d'office, il n'a pas eu son impact habituel dans sa moitié de terrain. Pas aussi serein qu'auparavant, il a toutefois tenu la baraque face à Touré, grâce à un sens de l'anticipation toujours aussi intéressant.
Djibril Sidibé : 5,5 / 10.
Défensivement, il a fait le minimum syndical. Face à Maurice - Belay, il a eu du mal à tenir le coup, mais s'en est finalement sorti. Offensivement, il n'a pas existé. Passée la ligne médiane, toute vélléité offensive semblait avoir disparue de son corps.
Rio Mavuba : 6 / 10.
Très discret, peut - être même trop, il a rempli son rôle de capitaine, haranguant sans relâche ses partenaires, mais oubliant parfois de participer de manière plus active à la construction des offensives de sa formation.
Florent Balmont : 6 / 10.
Tout comme son compère de récupération, le teigneux Florent n'a pu impacter sur la rencontre avec sa hargne habituelle, mais a tout de même fait preuve d'une envie débordante.
Remplacé dans les arrêts de jeu par un Pavard désireux de bien faire, mais n'ayant que trop peu de temps pour s'exprimer.
Mounir Obbadi : 6,5 / 10.
Un chouia plus dynamique que ses comparses, il a été à l'origine de nombreuses séquences des Dogues, qui n'auront pu s'achever aussi bien qu'il les avait commencées. Technique, mais aussi physique, ce milieu a tout pour jouer un rôle primordial dans la reconstruction du club.
Remplacé à l'heure de jeu par un Mendes de feu, dans un rôle forcément plus offensif.
Sofiane Boufal : 7,5 / 10.
Véritable poison, dynamiteur de défenses, le jeune prodige n' eu de cesse de torturer l'arrière - garde bordelaise durant l'intégralité de la rencontre. Passeur qui serait décisif sans l'inefficacité de ses coéquipiers, dribbleur invétéré, le LOSC peut définitivement se reposer sur lui.
Eric Bauthéac : 6 / 10.
Virevoltant, il cette fois tombé sur un Gajic intransigeant, et n'a pu mener ses débordements à leur terme. Il en a été de même pour ses percées axiales, réduites à néant par un Yambéré incisif.
Remplacé à un quart d'heure de la fin par un Guirassy costaud, mais encore trop naïf.
Baptiste Guillaume : 6 / 10.
Fort soucieux de bien faire, son poteau ne peut cependant pas faire oublier une prestation un tantinet insuffisante. Muselé par la paire Pallois - Yambéré, il a vécu une après - midi frustrante.
Bordeaux.
Jérôme Prior : 7,5 / 10.
Remplacer Carrasso n'est jamais un cadeau, sauf, peut - être, pour Jérôme Prior. Bondissant, rassurant, présent, tout simplement. Un véritable pilier en devenir, sur lequel Bordeaux peut s'appuyer.
Milan Gajic : 6,5 / 10.
Extrêmement mobile, défensivement présent, le jeune latéral est un futur crack, à n'en pas douter. Sa maturité est un atout sérieux, mais semble également le limiter dans certains de ses débordements, qi auraient peut - être pu donner sur quelque chose de plus inattendu.
Remplacé à vingt minutes du terme par un Guilbert bien intentionné, mais beaucoup trop maladroit.
Cédric Yambéré : 6,5 / 10.
Empli d'une fougue peu appropriée pour son poste, il a su s'en servir à bon escient, afin de stopper les velléités du rapide Bauthéac. Il a également prouvé qu'il pouvait être le véritable patron de la défense en l'absence de Sané.
Nicolas Pallois : 6 / 10.
Toujours aussi dur au mal, son entaille au crâne ne l'a pas empêché de revenir sur le terrain, plus décidé que jamais à ne rien laisser passer. Cette mentalité lui joue des tours, et il devrait impérativement penser à densifier sa palette technique.
Maxime Poundjé : 7 / 10.
Incroyablement actif sur son côté gauche, le latéral a livré un superbe duel face à Boufal, alors que ce dernier était tout sauf un cadeau. Offensivement parlant, une partition correcte, sans plus, mais correspondant à ce qui lui avait été demandé : faire out son possible pour museler le prodige adverse.
Clément Chatôme : 6 / 10.
Seul devant la défense, il a fait ce qu'il pouvait pour colmater les brèches. La bataille du milieu aura été compliquée pour lui, quasiment seul face à Mavuba, Obbadi et Balmont. Et sil a pu repousser ces attaques, c'est en grande partie grâce aux montées du jeune Yambéré.
Henri Saivet : 6 / 10.
Positionné légèrement en retrait par rapport à son poste de prédilection, Saivet a su mettre son ego de côté afin de rendre service à sa formation. Dans son rôle d'attaquant secondaire, il a prouvé qu'il pouvait être une solution de rechange correcte.
Remplacé à vingt minutes de la fin par André Poko, qui a apporté un soutien considérable à la récupération.
Kevin Soni : 5 / 10.
Une prestation très moyenne du tout jeune meneur, beaucoup trop débordé face à ses détracteurs. Maladroit dans ses interventions, beaucoup trop agressif par instants, il vaut mieux souligner l'intention que la réalisation.
Remplacé à dix minutes de la fin par l'éternel Jussiê, qui a montré de beaux restes malgré une trentaine bien tassée.
Nicolas Mauice - Belay : 6,5 / 10.
De puissants débordements, une vitesse de ponte intacte, NMB n'a rien perdu, ou presque. Il lui reste à retrouver un emblant de précision de tir ou de passe, aspects de son jeu pour lesquels les critiques fusent depuis un certain temps.
Thomas Touré : 5,5 10.
Délogé de son véritable poste, il n'a guère pesé sur quoi que ce soit, mais il aurait pu se trouver à la conclusion de certaines. Ses qualités de finisseur en sont encore au point mort, et c'est ainsi qu'il faudra y travailler.
Enzo Crivelli : 6 / 10.
Harponné par Civelli et Basa, le grand gaillard a su se démener comme un beau diable, mais vainement, malheureusement, le montant gauche de Vincent Enyeama en ayant décidé autrement, bien que son propriétaire ne soit battu.
vendredi 7 août 2015
Une saison à Pierre - Mauroy, J1
Avec un effectif renouvelé à tous les étages, le LOSC débutait sa saison face au triple champion en titre, l'inusable et intouchable Paris Saint - Germain. Toutefois, bien que le club de la capitale soit reparti avec trois points de ce déplacement, tout ne s'est pas passé comme prévu, les Parisiens ayant évolué durant plus d'une heure en infériorité numérique, la faute à un Rabiot maladroit. Voici donc les notes attribuées aux titulaires de cette rencontre, des inefficaces locaux aux courageux visiteurs.
Lille.
Vincent Enyeama : 6 / 10.
Rassurant dans ses prises de balle aériennes, sur les centres d'Aurier ou les corners de Lucas, il n'a cependant rien pu faire sur le but de ce dernier, lancé en profondeur, et qui aurait même pu transmettre à un Cavani lâché par la défense. Frustrant.
Benjamin Pavard : 6 / 10.
Pas vraiment à son avantage offensivement, il a compensé par une présence défensive intéressante au devant de Maxwell, avant d'être replacé en défense centrale, où il n'a pas fait le poids, mais tout de même empêché un second but en toute fin de rencontre en contrant une frappe de Cavani.
Renato Civelli : 5,5 / 10.
Pataud, maladroit, il a trop souvent été pris de vitesse dans le dos, ses adversaires profitant de ses quelques montées hasardeuses au niveau du rond central. Il a tout de même sauvé son équipe de certaines situations difficiles grâce à un impact physique fort utile pour faire face à Cavani.
Ibrahim Amadou : 6 / 10.
Pour sa première rencontre officielle avec le LOC, il avait pour mission de contrer les courses intérieures de Lucas, rien que ça. Et c'est ce qu'il a fait, s'interposant avec justesse à plusieurs reprises, et usant de sa détente pour écarter de nombreuses transversales axiales.
Remplacé à la pause par un Mendes entreprenant sur son aile droite, mais limité face à un Maxwell très présent.
Djibril Sidibé : 4 / 10.
Une prestation trop faible à ce niveau, en particulier face à un Serge Aurier survolté, auquel il a laissé beaucoup trop d'espace, surtout en première période. Sa naturelle puissance ne lui aura été que d'une faible utilité, du fait qu'il ait négligé l'intervention au profit de la relance.
Florent Balmont : 6,5 / 10.
Toujours aussi coriace, l'expérimenté milieu a donné du fil à retordre au trio adverse de l'entrejeu. Sa capacité à frapper de loin aurait pu être mise à profit s'il avait fait preuve d'un peu moins de timidité en certaines occasions.
Rio Mavuba : 6,5 / 10.
L'insubmersible capitaine des Dogues a tenu la baraque, soulageant sa défense d'un fardeau qui aurait pu être bien plus lourd, et obligeant ainsi ses opposants à passer par les ailes.
Remplacé à vingt minutes de la fin par un Mounir Obbadi soucieux de bien faire, mais encore à court physiquement.
Sébastien Corchia, 6,5 / 10.
Trop discret avant la pause, trop sollicité après celle - ci, il a vécu une rencontre à deux visages. Auteur de multiples centres durant le dernier quart d'heure, l'omniprésence de Maxwell ne lui aura malheureusement pas facilité la tâche.
Sofiane Boufal : 5,5 / 10.
Habituel dynamiteur, ses percées auront, une fois n'est pas coutume, été vaines, tant la charnière Silva - Luiz aura usé de sa complémentarité afin de déjouer ses plans, en jouant énormément sur l'impact physique, qui n'est pas le point fort de Boufal.
Eric Bauthéac : 7 / 10.
Désireux de se montrer pour sa première à Pierre - Mauroy, il a rayonné tant offensivement que défensivement, donnant du fil à retordre à un Pastore inhabituellement terne, mais n'étant pas en mesure de prendre le dessus de manière permanente sur Serge Aurier.
Sehrou Guirassy : 5,5 / 10.
Sans complexe face à l'une des meilleures charnières de la planète, il a fait de son mieux pour peser dans les duels, tout en pressant sans relâche. Toutefois, quasiment rien à se mettre sous la dent, et une première globalement insignifiante car trop peu fournie.
Remplacé à l'heure de jeu par Junior Tallo, qui n'a su faire mieux que son coéquipier, malgré un physique tout aussi avantageux.
Paris.
Kevin Trapp : 6,5 / 10.
Commet noter un gardien dont la seule prise de balle notable intervient sur un tir désespéré et manquant cruellement de puissance ? Voyons le verre à moitié plein, et considérons que cette seule occasion de se montrer restera comme une réussite.
Serge Aurier : 8 / 10.
Meilleur joueur de cette rencontre, le latéral droit est en train de s'affirmer à son poste, et d'écraser la concurrence que représentent Van der Wiel et Marquinhos. Toujours dans les bons coups, souvent pris pour cible par ses adversaires (touché au genou droit, puis à la tête), il a tenu sa place et fait parler sa puissance, combinée à une vitesse de pointe affolante.
Thiago Silva : 7 / 10.
"Le Monstre" est bel et bien de retour. Solide comme un roc, incisif dans ses interventions, aussi bien au sol que dans les airs, il a tenu la baraque face aux nombreux centres adverses, en particulier en toute fin de rencontre, alors que les Lillois poussaient pour égaliser.
David Luiz : 6,5 / 10.
Permutant souvent avec Rabiot entre défenseur central et sentinelle, jusqu'à l'expulsion de son coéquipier, il su mettre de côté ses velléités offensives afin de protéger l'avantage de son équipe.
Maxwell : 7 / 10.
Lucas Digne peut se faire du souci, car Maxwell n'est pas prêt de raccrocher les crampons. Encore sur une autre planète face à Lille, il a démontré qu'il savait toujours se hisser au niveau demandé. Coupant les trajectoires avec discipline et attention, il a éteint Corchia, avant de faire en sorte d'éclipser Mendes après la pause.
Adrien Rabiot : 3 / 10.
La saison risque d'être longue pour le jeune espoir du PSG, expulsé après avoir reçu deux cartons jaunes en moins d'une demi - heure, et contraint de quitter ses partenaires. Deux erreurs stupide, qui seront désormais impardonnables s'il veut gagner du temps de jeu.
Marco Verratti : 6,5 / 10.
Toujours aussi spectaculaire, incroyablement à l'aise sur le terrain, infatigable à la récupération, Verratti semblait en avoir encore sous le pied, mais son entraîneur en a décidé autrement.
En effet, Blanc le fit sortir au profit de Benjamin Stambouli, à un quart d'heure de la fin. Celui - ci a donné tout ce qu'il avait, afin de préserver l'avantage de son équipe.
Blaise Matuidi : 7 / 10.
Trois poumons, peut - être quatre. Voici la conclusion qui correspondrait à la prestation de Matuidi, capable de courir de part et d'autre du terrain, de répéter ses efforts, de récupérer, relancer, lancer une contre - attaque, et toutes sortes de choses qui ne peuvent être, en temps normal, accomplies dans le même temps.
Lucas : 7 / 10.
Unique buteur de cette rencontre, le Brésilien n'a eu de cesse de harceler ses pendants durant toute la rencontre, afin de s'imposer sur son aile. Toujours prêt à lancer un sprint soudain et imprévisible, à participer à la récupération ou délivrer une passe dans la profondeur, il a rempli son rôle de créateur d'espaces.
Remplacé par Jean - Kévin Augustin dans le temps additionnel. Celui - ci a failli trouver le temps d'ouvrir son compteur, mais a été repris par la patrouille.
Javier Pastore : 5,5 / 10.
Transparent, l'Argentin n'a su trouver la formule pour faire craquer la défense locale, et a semblé bien loin de son niveau de l'an passé. Imprécis dans ses transmissions, il n'a pu accélérer le rythme, ce qui a contraint son entraîneur à le sortir à la pause, au profit de Motta.
Celui - ci a humilié les Lillois à plusieurs reprises, répétant des successions de dribbles parfaitement exécutés, le tout en marchant.
Edinson Cavani : 7 / 10.
Toujours aussi généreux dans l'effort, Cavani n'a su marquer en l'absence d'Ibrahimovic, mais a tout de même témoigné d'une véritable volonté de poursuivre l'aventure avec le club de la capitale. Très disponible, ses coéquipiers ont malheureusement eu du mal à le trouver.
Lille.
Vincent Enyeama : 6 / 10.
Rassurant dans ses prises de balle aériennes, sur les centres d'Aurier ou les corners de Lucas, il n'a cependant rien pu faire sur le but de ce dernier, lancé en profondeur, et qui aurait même pu transmettre à un Cavani lâché par la défense. Frustrant.
Benjamin Pavard : 6 / 10.
Pas vraiment à son avantage offensivement, il a compensé par une présence défensive intéressante au devant de Maxwell, avant d'être replacé en défense centrale, où il n'a pas fait le poids, mais tout de même empêché un second but en toute fin de rencontre en contrant une frappe de Cavani.
Renato Civelli : 5,5 / 10.
Pataud, maladroit, il a trop souvent été pris de vitesse dans le dos, ses adversaires profitant de ses quelques montées hasardeuses au niveau du rond central. Il a tout de même sauvé son équipe de certaines situations difficiles grâce à un impact physique fort utile pour faire face à Cavani.
Ibrahim Amadou : 6 / 10.
Pour sa première rencontre officielle avec le LOC, il avait pour mission de contrer les courses intérieures de Lucas, rien que ça. Et c'est ce qu'il a fait, s'interposant avec justesse à plusieurs reprises, et usant de sa détente pour écarter de nombreuses transversales axiales.
Remplacé à la pause par un Mendes entreprenant sur son aile droite, mais limité face à un Maxwell très présent.
Djibril Sidibé : 4 / 10.
Une prestation trop faible à ce niveau, en particulier face à un Serge Aurier survolté, auquel il a laissé beaucoup trop d'espace, surtout en première période. Sa naturelle puissance ne lui aura été que d'une faible utilité, du fait qu'il ait négligé l'intervention au profit de la relance.
Florent Balmont : 6,5 / 10.
Toujours aussi coriace, l'expérimenté milieu a donné du fil à retordre au trio adverse de l'entrejeu. Sa capacité à frapper de loin aurait pu être mise à profit s'il avait fait preuve d'un peu moins de timidité en certaines occasions.
Rio Mavuba : 6,5 / 10.
L'insubmersible capitaine des Dogues a tenu la baraque, soulageant sa défense d'un fardeau qui aurait pu être bien plus lourd, et obligeant ainsi ses opposants à passer par les ailes.
Remplacé à vingt minutes de la fin par un Mounir Obbadi soucieux de bien faire, mais encore à court physiquement.
Sébastien Corchia, 6,5 / 10.
Trop discret avant la pause, trop sollicité après celle - ci, il a vécu une rencontre à deux visages. Auteur de multiples centres durant le dernier quart d'heure, l'omniprésence de Maxwell ne lui aura malheureusement pas facilité la tâche.
Sofiane Boufal : 5,5 / 10.
Habituel dynamiteur, ses percées auront, une fois n'est pas coutume, été vaines, tant la charnière Silva - Luiz aura usé de sa complémentarité afin de déjouer ses plans, en jouant énormément sur l'impact physique, qui n'est pas le point fort de Boufal.
Eric Bauthéac : 7 / 10.
Désireux de se montrer pour sa première à Pierre - Mauroy, il a rayonné tant offensivement que défensivement, donnant du fil à retordre à un Pastore inhabituellement terne, mais n'étant pas en mesure de prendre le dessus de manière permanente sur Serge Aurier.
Sehrou Guirassy : 5,5 / 10.
Sans complexe face à l'une des meilleures charnières de la planète, il a fait de son mieux pour peser dans les duels, tout en pressant sans relâche. Toutefois, quasiment rien à se mettre sous la dent, et une première globalement insignifiante car trop peu fournie.
Remplacé à l'heure de jeu par Junior Tallo, qui n'a su faire mieux que son coéquipier, malgré un physique tout aussi avantageux.
Paris.
Kevin Trapp : 6,5 / 10.
Commet noter un gardien dont la seule prise de balle notable intervient sur un tir désespéré et manquant cruellement de puissance ? Voyons le verre à moitié plein, et considérons que cette seule occasion de se montrer restera comme une réussite.
Serge Aurier : 8 / 10.
Meilleur joueur de cette rencontre, le latéral droit est en train de s'affirmer à son poste, et d'écraser la concurrence que représentent Van der Wiel et Marquinhos. Toujours dans les bons coups, souvent pris pour cible par ses adversaires (touché au genou droit, puis à la tête), il a tenu sa place et fait parler sa puissance, combinée à une vitesse de pointe affolante.
Thiago Silva : 7 / 10.
"Le Monstre" est bel et bien de retour. Solide comme un roc, incisif dans ses interventions, aussi bien au sol que dans les airs, il a tenu la baraque face aux nombreux centres adverses, en particulier en toute fin de rencontre, alors que les Lillois poussaient pour égaliser.
David Luiz : 6,5 / 10.
Permutant souvent avec Rabiot entre défenseur central et sentinelle, jusqu'à l'expulsion de son coéquipier, il su mettre de côté ses velléités offensives afin de protéger l'avantage de son équipe.
Maxwell : 7 / 10.
Lucas Digne peut se faire du souci, car Maxwell n'est pas prêt de raccrocher les crampons. Encore sur une autre planète face à Lille, il a démontré qu'il savait toujours se hisser au niveau demandé. Coupant les trajectoires avec discipline et attention, il a éteint Corchia, avant de faire en sorte d'éclipser Mendes après la pause.
Adrien Rabiot : 3 / 10.
La saison risque d'être longue pour le jeune espoir du PSG, expulsé après avoir reçu deux cartons jaunes en moins d'une demi - heure, et contraint de quitter ses partenaires. Deux erreurs stupide, qui seront désormais impardonnables s'il veut gagner du temps de jeu.
Marco Verratti : 6,5 / 10.
Toujours aussi spectaculaire, incroyablement à l'aise sur le terrain, infatigable à la récupération, Verratti semblait en avoir encore sous le pied, mais son entraîneur en a décidé autrement.
En effet, Blanc le fit sortir au profit de Benjamin Stambouli, à un quart d'heure de la fin. Celui - ci a donné tout ce qu'il avait, afin de préserver l'avantage de son équipe.
Blaise Matuidi : 7 / 10.
Trois poumons, peut - être quatre. Voici la conclusion qui correspondrait à la prestation de Matuidi, capable de courir de part et d'autre du terrain, de répéter ses efforts, de récupérer, relancer, lancer une contre - attaque, et toutes sortes de choses qui ne peuvent être, en temps normal, accomplies dans le même temps.
Lucas : 7 / 10.
Unique buteur de cette rencontre, le Brésilien n'a eu de cesse de harceler ses pendants durant toute la rencontre, afin de s'imposer sur son aile. Toujours prêt à lancer un sprint soudain et imprévisible, à participer à la récupération ou délivrer une passe dans la profondeur, il a rempli son rôle de créateur d'espaces.
Remplacé par Jean - Kévin Augustin dans le temps additionnel. Celui - ci a failli trouver le temps d'ouvrir son compteur, mais a été repris par la patrouille.
Javier Pastore : 5,5 / 10.
Transparent, l'Argentin n'a su trouver la formule pour faire craquer la défense locale, et a semblé bien loin de son niveau de l'an passé. Imprécis dans ses transmissions, il n'a pu accélérer le rythme, ce qui a contraint son entraîneur à le sortir à la pause, au profit de Motta.
Celui - ci a humilié les Lillois à plusieurs reprises, répétant des successions de dribbles parfaitement exécutés, le tout en marchant.
Edinson Cavani : 7 / 10.
Toujours aussi généreux dans l'effort, Cavani n'a su marquer en l'absence d'Ibrahimovic, mais a tout de même témoigné d'une véritable volonté de poursuivre l'aventure avec le club de la capitale. Très disponible, ses coéquipiers ont malheureusement eu du mal à le trouver.
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