Dès l'entame du match les Dogues se sont montrés volontaires en attaque, à l'image de cette tête lobée de Corchia, au bout de dix minutes, bien captée par Vlasic, et confiants en défense, en témoigne cette dangereuse remise de la poitrine de Kjaer pour Enyeama. Et cette assurance fut rapidement récompensée par un but, l'oeuvre de Balmont, qui décalé par Mendes, décocha une frappe de 20 mètres qui finit sa course en lucarne, et ce après vingt minutes de jeu.
Ensuite, bien que toujours armé de bonnes intentions, le LOSC se mit à reculer, et la première occasion suisse intervint à la demi-heure de jeu, lorsqu'Abrashi, averti cinq minutes plus tôt pour une faute inutile sur le buteur nordiste, sollicita Enyeama d'une frappe à ras de terre, depuis l'entrée de la surface. Et ce même Abrashi vit sa ténacité récompensée par un but, copie conforme de celui de Balmont, dont il intercepta la passe pour se mettre en position de tir, puis loger le cuir sous la barre lilloise, et ce dix minutes avant le retour aux vestiaires. Cinq minutes plus tard, le Zambien du Grasshopper, Sinkala, fut sanctionné d'un jaune suite à un pied haut sur Balmont, encore lui, et, dans le temps additionnel de cette première période animée, Basa, le capitaine des Dogues, l'imita, et reçut un jaune pour une charge aérienne sur un adversaire.
Ensuite, bien que toujours armé de bonnes intentions, le LOSC se mit à reculer, et la première occasion suisse intervint à la demi-heure de jeu, lorsqu'Abrashi, averti cinq minutes plus tôt pour une faute inutile sur le buteur nordiste, sollicita Enyeama d'une frappe à ras de terre, depuis l'entrée de la surface. Et ce même Abrashi vit sa ténacité récompensée par un but, copie conforme de celui de Balmont, dont il intercepta la passe pour se mettre en position de tir, puis loger le cuir sous la barre lilloise, et ce dix minutes avant le retour aux vestiaires. Cinq minutes plus tard, le Zambien du Grasshopper, Sinkala, fut sanctionné d'un jaune suite à un pied haut sur Balmont, encore lui, et, dans le temps additionnel de cette première période animée, Basa, le capitaine des Dogues, l'imita, et reçut un jaune pour une charge aérienne sur un adversaire.
Après le quart d'heure de repos habituel, Lille a tenté de reprendre l'avantage, mais a bien failli, au contraire, encaisser un deuxième but, et n'a dû son salut qu'à son incroyable gardien, auteur d'une superbe manchette sur une tête de Dabbur, cinq minutes après le coup d'envoi de la seconde période, consécutive à un coup franc concédé par Rodelin, qui écopa d'un carton jaune pour une intervention maladroite aux abords de sa surface puis à son poteau gauche, sur une frappe de Kahraba, cinq minutes plus tard.
Vingt minutes avant la fin de la rencontre, alors que le LOSC semblait gérer l'avantage acquis au match aller, la route vers les barrages s'ouvrit de manière définitive avec l'expulsion de Pavlovic, coupable d'un pied haut dangereux sur Corchia. Les Dogues se contentèrent alors de faire tourner le ballon, afin de sécuriser la qualification. Cependant, la partie s'intensifia, Lang étant averti à cinq minutes du terme pour une intervention illicite sur Kalou, avant que Souaré ne soit également sanctionné pour une faute grossière sur l'intenable Abrashi.
Vingt minutes avant la fin de la rencontre, alors que le LOSC semblait gérer l'avantage acquis au match aller, la route vers les barrages s'ouvrit de manière définitive avec l'expulsion de Pavlovic, coupable d'un pied haut dangereux sur Corchia. Les Dogues se contentèrent alors de faire tourner le ballon, afin de sécuriser la qualification. Cependant, la partie s'intensifia, Lang étant averti à cinq minutes du terme pour une intervention illicite sur Kalou, avant que Souaré ne soit également sanctionné pour une faute grossière sur l'intenable Abrashi.
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Ryan Mendes, c'est un but et deux passes décisives sur les trois réalisations lilloises du tour préliminaire |
L'homme du match : Idrissa Gueye.
Discret, le Sénégalais a rayonné au milieu de terrain, excellant dans la distribution, et assurant à merveille le relais entre la charnière centrale et la pointe de l'attaque, et compensant sa faible dimension physique par un engagement et une olonté inébranlables.
Le bémol : Le public.
24 800 Lillois, 200 Zurichois. Et pourtant, ce sont bel et bien les supporters suisses qui ont mis l'ambiance à Pierre-Mauroy ce mardi 5 août, les Nordistes ne donnant de la voix qu'en de rares occasions. Le douzième homme est toujours attendu côté lillois.
Le bémol : Le public.
24 800 Lillois, 200 Zurichois. Et pourtant, ce sont bel et bien les supporters suisses qui ont mis l'ambiance à Pierre-Mauroy ce mardi 5 août, les Nordistes ne donnant de la voix qu'en de rares occasions. Le douzième homme est toujours attendu côté lillois.